Mur de béton sonore.
C'est tout c'qui m'est venu en tête lorsque O'Linea a envahi la salle du Ninkasi.
Le plafond s'allonge sur une voix aérienne et puissante;
L'air s'emplit des ondes électiques d'une guitare acérée, si chargée
[qu'elle lapide l'assistance de ses poings vibrants;
Le sol est martelé par une batterie explosive, sursaute aux coups du sang dans les tempes;
Tantôt mélancolique,
Tantôt foudroyant.
Mais toujours magnifié par une présence terrible.
Un orage de lamentations.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire