Trop d'monde, de choses, de pensées en même temps.
Le cerveau succombe, fond dans la mélasse incolore d'un temps passé à se dire :
Et le chien cours après la louve qui cours après le chat qui cours après le faon qui cours vers la falaise."Alors c'est ça la vie ?"
Alors la ménagerie s'écrase dans le ravin, et ne reste que les lièvres et les hyènes.
Et le renard sur son tas de féraille.
Avec dans la gueule des poils de loup.
Et le tigre dans son bateau.
Le cerveau succombe ; et la succube s'immole dans l'eau bénite.
2 commentaires:
Jolimment onirique, mais peu fort compréhensible sans les références pour le commun des mortels
Ah, si on se dévoilait trop, le plaisir ne serait plus là.
Une cheville ou une épaule à croquer.
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